Selon une jurisprudence bien établie, la cour de cassation rappelle régulièrement la nécessité de motiver les lettres de licenciement, lesquelles fixent les limites du litige prud’homal. A défaut, la sanction est sans appel : le licenciement est dépourvu de cause réelle et sérieuse et le salarié était indemnisé à ce titre.Explications et conseils par Nicolas Durand-Gasselin et Laurence Gros, avocats et associés au cabinet Tuffal-Nerson Douarre & Associés, partenaire de Challenges.
Pour tenter de limiter les erreurs des employeurs et réduire les risques de contentieux dus à l’absence ou à l’insuffisance de motivation des lettres de licenciement, les pouvoirs publics ont mis en place de nouveaux outils pour les aider les employeurs à mieux les rédiger
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