Le fait pour un Directeur de tenir des propos inappropriés pendant le temps de travail peut-il constituer une atteinte à l’obligation de sécurité ?

Monsieur [C] a été engagé, le 26 décembre 2011, par la société Brand & Celebrities, désormais dénommée Kolsquare. En dernier lieu, il occupait les fonctions de directeur commercial.

Il a été licencié pour faute grave le 6 mars 2019 et a saisi la juridiction prud’homale qui l’a débouté de ses demandes.

La Cour d’appel a confirmé que les faits reprochés à Monsieur [C] (propos sexistes, racistes et homophobes) étaient établis et constituaient une faute grave, rendant impossible la poursuite de son contrat.