Une vidéosurveillance illicite peut-elle servir de preuve à un licenciement pour faute ?
Le 7 janvier 2003, Mme [M] a été engagée par la société Pharmacie mahoraise en qualité de caissière.
Elle a été licenciée pour faute grave, par lettre du 19 juillet 2016 et a saisi la juridiction prud’homale pour contester cette rupture et obtenir paiement de diverses sommes à titre d’indemnités de rupture et de dommages-intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.